Le Circuit des Esclops: Félines, Les Rivières- Ventajou - Biot

Les lèvres humides qui chantent le printemps et l'éveil, disent : << Soit l'action, soit le discours, tout doit être mesuré au temps. Il faut vouloir quand on le peut; car ni la saison, ni le temps n'attendent personne. >> Baltasar Graciàn Une jeune femme demande au gendarme, qu’elle juge responsable de la destruction de la forêt, s’il ose encore se regarder dans une glace - Jeter des cailloux sur les gendarmes ou monter en haut d’un arbre pour empêcher le déboisement ? Répondre à la violence par la violence ou y opposer un pacifisme radical ? Voilà des questions que se posent tous les jours les opposants au projet de barrage du Testet dans le Tarn. « Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés. La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première. La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres. Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. » -Helder Pessoa Câmara, archevêque brésilien, nominé au prix Nobel de la paix, in. Helder Camara et la théologie de la libération : l’espérance des pauvres Lien à cliquer : http://www.reporterre.net/spip.php?article6495
Le Billet de Sophia Aram : "La grenade est dans... par franceinter

Aucun commentaire: